HISTOIRE D'AIMER
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 REPLIQUES CINGLANTES

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Michèle Schibeny
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Michèle Schibeny


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MessageSujet: REPLIQUES CINGLANTES   REPLIQUES CINGLANTES Icon_minitimeMar 13 Mai - 19:26









Répliques cinglantes








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Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle,
John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes. Montagu
dit à Wilkes :

« Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la
syphilis. »

Réplique de Wilkes :

« Cela dépend, monsieur, de si j'embrasse vos principes, ou votre maîtresse. »






Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :

« Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »

Réplique de Churchill :

« Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »








Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :


« Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi,
qui vous l'a écrit ? »


Réplique d'Amanda :


« Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui
vous l'a lu ? »








Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans
vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :

« Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »


Réplique de sa femme :

« Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’ai envie de vous
tromper que lorsque je vous vois. »









Churchill fit un jour la remarque suivante à son ami George Bernard
Shaw (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :


« À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en
Angleterre. »


Réplique de Shaw :


« À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes
la cause. »












Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la
famille Churchill ), Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à
discuter des droits des femmes avec Winston Churchill, qui n'était pas
réputé pour son affection pour le sujet.

Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :


« Winston, Si j’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre
verre ! »


Réplique du tac au tac de Churchill :


« Eh bien moi, Nancy, si j’étais votre mari, je le boirais ! »












Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent
dans un cimetière.

« Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide,
» déclare galamment le spirituel Sacha.

« Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide.










Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale
à Michel Blanc :


« Être chauve, est-ce un handicap ? »


« Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! »














Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à
François Périer, jeune élève :


- Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se
retourner dans sa tombe.


Et Périer de répliquer du même ton :


- Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.












Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un
strabisme divergent.

Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait
cette infirmité.


Un jour, elle s'avisa de lui demander :
- Comment allez-vous, Prince ?
- Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.









« Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l’épouse du Maréchal
de Boufflers après qu’il fut décédé.

« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits »
réplique-t-elle.










Monsieur de Rivarol, combien d’années me donnez-vous ? » demandait une
vieille coquette à l’homme célèbre.


Réponse :

«Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’en avez-vous donc pas assez ?"












A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel
du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités. L’un
d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa
poche et déclare :

«C’est pour la route. »


« Merci d’être venu d’aussi loin, lui lance Churchill. »








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