Va t'en donc voir ailleurs si quelquefois j'y suis
Fais fondre cet étau qui me coupe le souffle
Marre de ce vent glacé qui mon moral détruit
Se love sur mon coeur qui aussitôt s'essouffle
Laisse moi respirer, oublier tes noirceurs
Cesse de m'embrouiller en me mettant en tête
Les idées les plus sombres aux couelurs de l'horreur
Qui ne parlent que de doutes, de glas et de défaites
Même le chocolat n'arrive pas à te vaincre
Dis ce que tu as à dire et fiche moi le camp
Tu ne crois quand même pas que tu vas me convaincre
Que les heures à venir ne seront que tourment
Angoisse mon ennemie offre moi une trêve
Desserre tes machoires le temps que je me sauve
Quelques éclats de rire pour retrouver le rêve
La chaleur d'une main que mon âme se rénove...